L’exemple du nez à la parisienne au début du 20ème siècle
Tout le monde a en tête le petit nez à la parisienne, qui était très à la mode dans les années 1920 à Paris.
Un peu moins d’un siècle plus tard, cette tendance pourtant particulièrement forte à l’époque de la chirurgie esthétique française et parisienne a complètement disparu des radars.
La mode actuelle est plutôt d’obtenir un nez le plus naturel possible, qui colle à la personne. De plus, la multi-culturalité de la société française fait croiser dans la rue des races diverses, dont les demandes esthétiques sont variées et personnalisées.
Il n’existe pas de norme de beauté standard : c’est pourquoi l’écoute est indispensable !
Qu’il s’agisse d’augmentation ou de réduction mammaire ou encore de plasties de la silhouette, les exigences sont fort différentes d’une patiente à l’autre. Alors que l’une demande des petits seins, l’autre prendra une décision qui ira dans le sens d’une forte augmentation mammaire pour répondre à son complexe.
Exercer la profession de chirurgien esthétique à Paris consiste donc tout d’abord à écouter parfaitement les besoins des patientes pour comprendre et évaluer leur demande, puis seulement prendre des mesures au besoin avec un centimètre mais aussi se servir de photographies, et de simulation par ordinateur.
Je répète que l’écoute préalable est plus que fondamentale, en sachant qu’il n’existe pas une norme de beauté standard qui pourrait s’appliquer à chaque individu. Il n’y a donc pas de signal ostensible de la beauté, le charme et les capacités de séduction sont bien plus importantes que des mesures établies selon une moyenne nationale ou internationale.
Certes, le nombre d’or carte mystérieux charme pour réguler les proportions harmonieuses du corps humain. Et quand une patiente demande une augmentation des fesses, les mathématiques ne sont pas facilement applicables !