Écoute et empathie clés de la relation patient chirurgien esthétique
Toutefois ce n’est pas toujours un paradis au cours de la consultation, car un certain nombre de patients sont obnubilés par leurs problèmes q...
Le Docteur Vladimir Mitz est un chirurgien d’expérience qui met la chirurgie au rang d’un art au service de ses patients.
Ancien interne des hôpitaux de Paris, il a étudié la chirurgie esthétique aux Etats-Unis pendant 18 mois. Il a ensuite été chef de clinique pendant 4 ans. Parallèlement, il a été le chirurgien « moteur » de SOS Mains à l’hôpital Boucicaut (Paris). Il était accompagné par le Docteur Jacques Bères, puis le Docteur Dominique Leviet, puis de nombreux autres chefs de clinique et assistants, dans le service de l’illustre Professeur Raymond Vilain à l’hôpital Boucicaut, aujourd’hui disparu.
Chef d’école chirurgicale, le Docteur Mitz est membre titulaire de l’Académie de Chirurgie. ll a notamment présidé la SoFCPRE (Société Française de Chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique) en 2003. Il est par ailleurs est membre de nombreuses sociétés savantes internationales. Il est l’auteur d’une dizaine d’ouvrages professionnels et d’une centaine de publications scientifiques.
Progressivement, et après des négociations tarifaires avec la direction de l’hôpital Boucicaut, le Docteur Mitz a ouvert une activité de chirurgie esthétique démocratique à l’hôpital public. Mû par le concept d’une nouvelle chirurgie démocratique, ouverte à ceux et celles trop démunis pour se faire opérer dans le privé, cette initiative a rencontré un grand succès populaire. L’activité s’est poursuivie, après la fermeture de l’hôpital Boucicaut, dans les cliniques Blomet, puis Victor Hugo. Cette initiative a permis une excellente formation de jeunes chirurgiens français et étrangers. Cela a par ailleurs donné à notre pays une grande qualité d’exécution technique par la transmission de techniques chirurgicales éprouvées, efficaces et étudiées scientifiquement. Le concept de chirurgie démocratique a ensuite été repris par de nombreux établissements hospitaliers publics. Cependant, celui-ci est en perte de vitesse. En effet, la chirurgie esthétique a peu de place actuellement dans les blocs opératoires, surchargés de travail.
Jusqu’en 2010, le Docteur Vladimir Mitz a été praticien à mi-temps des hôpitaux de Paris à l’Hôpital européen Georges Pompidou. Il poursuivait parallèlement une activité libérale en cabinet privé, à laquelle il se consacre désormais à temps plein.
Retrouvez l’ensemble des travaux scientifiques du Docteur Vladimir Mitz en cliquant ici.
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> Par goût de la perfection du geste et de la qualité du résultat
> Pour l’intensité nécessaire de l’écoute et du suivi, ainsi que pour la communication secrète avec les patients
> Le Docteur Mitz bénéficie de la solidité de l’expérience, avec une approche individuelle pour chacun : tous les patients sont différents et nécessitent une opération personnalisée
> Une priorité : le respect du naturel avec un accompagnement responsable par une équipe engagée dans un cabinet dédié à la chirurgie esthétique
> Une philosophie : le choix de la sécurité plutôt que celui des risques d’opérations aventureuses
Les consultations du Docteur Mitz ont lieu à son cabinet situé en plein Paris des arts et des lettres dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés.
Décoré dans un style « atelier », il est proche du métro Saint-Germain-des-Prés, d’un parking souterrain (et de sa sortie ascenseur), d’une station Vélib’ ainsi que du Café de Flore et du Café Les Deux Magots.
Le secrétariat est à l’écoute et s’efforce de respecter un planning précis qui évite les retards exagérés.
Il s’agit de corriger des défauts de l’apparence et de complexes acquis ou d’origine familiale. Le visage, le corps et les membres peuvent être concernés, organes sexuels compris.
Le but du chirurgien est de conserver un aspect naturel et et que l’intervention soit aussi « invisible » que possible.
Exemples : rhinoplastie, ptose mammaire, liposuccion, augmentation mammaire par prothèses ou lipofilling, liftings du visage, blépharoplastie etc.
La lutte contre le vieillissement s’y intègre également, aidée par les progrès de la médecine esthétique (injections).
Cette chirurgie n’est pas prise en charge par la sécurité sociale.
Il s’agit de de corriger et de réparer des malformations ou des plaies. Les séquelles d’ablation de tumeurs corporelles (exemple : cancer du sein) sont également concernées.
Le plus grand progrès en a été les homogreffes du visage.
Toutes les structures du corps peuvent être soumises à la chirurgie réparatrice ou reconstructrice.
Exemples : fentes labio-palatines du bébé, reconstruction du nez, des oreilles, séquelles de brûlures, tumeurs cutanées et autres, etc.
Cette chirurgie est en général prise en charge par la sécurité sociale, parfois après demande d’entente préalable.
Il s’agit plus spécifiquement de réparer, de reconstruire, voire d’embellir les mains blessées, vieillies ou abîmées par des traumatismes, des malformations congénitales, des déformations arthrosiques, ou encore des tumeurs, qu’elles soient bénignes ou malignes.
Le progrès essentiel est venu des techniques de microchirurgie vasculaire et nerveuse.
Exemples : maladie de Dupuytren, kyste synovial, canal carpien, plaie des nerfs ou des tendons etc.
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